Les Américains
je n'ai aucune envie de généraliser. On ne réduit pas une population de 250 millions (je suis momentanément hors-ligne, donc sans aucun moyen de vérifier mes assertions - comment vivaient les gens avant Wikipédia?) à une somme de stéréotypes. Donc, il sera admis une fois pour toutes que l'Américain moyen est un fantasme, une aberration statistique. Tout au plus ai-je pu remarquer une jovialité hors-normes presque généralisée. Leur langue, souci majeur avant de partir, nécessite une phase d'adaptation qui n'est pas encore finie pour moi. Tout le monde se comporte comme si la planète parlait anglais à mille à l'heure. J'attendrai ma première réunion professionnelle (cet après-midi) pour me situer vraiment. La première étape, celle des films non sous-titrés dans l'avion, avait même été encourageante. On verra. Je surnagerai de toute façon, être étranger ici me donne une certaine immunité linguistique.
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