Me revoilà
Comme je vous connais, vous avez encore dû penser que je vous avais oublié, que prolongation de séjour rimait avec manque de sujets. Mais noon. Pas de problème, me revoici donc. Un lundi parce que bon, j'ai pas eu l'occasion hier soir.
Le retour en Belgique s'est évidemment bien déroulé. Festif comme prévu. Plus festif que prévu d'ailleurs mais je serais bien mal inspiré de m'en plaindre. Encore merci à ceux qui m'ont hébergé (mes parents et ma soeur donc) et à ceux qui m'ont animé (la liste est longue et je veux pas froisser les gens par la faute de ma mémoire déficiente).
Le retour ici s'est déroulé comme la fois passée, c'est-à-dire en avion et en ayant oublié mes clés. Ce qui m'a donné l'occasion de voir deux de mes colocs. Un pour m'ouvrir la porte et un autre parce que je me suis enfermé dans le garage où j'avais astucieusement déposé un double. Je sais que c'est pas super intéressant mais si je ne gardais que le substantiel ce blog aurait la taille d'un SMS... Sinon, c'est étonnant cette sensation d'avoir deux chez-moi. Et de penser que Belgique est associée à vacances alors que Seattle c'est boulot. Mais pas que comme vous allez le voir.
Samedi, pas fâchée qu'on ait manqué deux jours avant la soirée qu'elle nous avait signalé, Annie nous invite à un souper. Au programme, bonne nourriture (merci Sharla qui cuisinait), bon vin, jeux de société qui nous rappellent que notre niveau d'anglais est encore perfectible et passage éclair dans un café de Fremont avant que l'Amérique ne ferme. Le reste est de l'histoire.
Il me reste dix week-ends ici. Pas que je compte les jours en pleurant la mère patrie, mais il faut que je les mette à profit pour bouger un peu (Vancouver, Portland, etc...). Encore des sujets en perspective. Je vais donc continuer à animer votre vie au bureau...
2 commentaires:
C'est avec plaisir que je retrouve le carnet du bourlingueur aux States. C'est plein d'humour héréditaire. Il faudra penser à continuer une chronique du genre après le retour. Il y a pas mal de tableaux très particuliers et typiques en Belgique qu'il serait intéressant de faire connaître au reste du monde, avec cette touche qui vous est particulière et pétillante.
Un hastiérois de vos connaissances.
Merci dites.
Malheureusement, j'ai l'impression que la langue est un peu un obstacle pour organiser une revanche transatlantique. Et puis je manque de recul vis-à-vis de notre petit royaume. Mais j'aurai sans doute envie de continuer, c'est certain
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