Sasquatch!
PS: j'ai rajouté des images ici :http://picasaweb.google.com/marc.mineur/Sasquatch
Marc est à Seattle. Comme si ça ne suffisait pas, il fait son intéressant en divulgant à tous les passants ses pensées sur le nouveau monde.
PS: j'ai rajouté des images ici :http://picasaweb.google.com/marc.mineur/Sasquatch
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Marc
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mercredi, mai 30, 2007
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mardi, mai 22, 2007
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Sinon, je n’ai pas clairement assisté à l’évènement mais j’ai vu des bribes : la course de remorqueurs... Un pas de plus dans la recherche du sport ultime donc.
Voilà, juste pour terminer, les porcs ne sont pas admis dans les écoles. Si j’avais su...
Voilà, j’ai presque fait court cette semaine. C’est quand même plus convivial pour vous, non ?
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lundi, mai 14, 2007
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mardi, mai 08, 2007
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Mais la soirée n’est pas finie. Ne venez pas me dire que vous auriez résisté à un flyer pareil. C’est l’anniversaire d’Hadrian, l’ancien proprio de Stijn. Comme j’arrive tard (minuit 30), je ne peux pas profiter de la frénésie. Raisonnable malgré moi quoi.Le musée d’art de Seattle (SAM est son acronyme) fête sa réouverture par 35 heures d’activités non-stop. On prend un ticket (gratuit) pour la prochaine séance, une demi-heure plus tard c’est-à-dire 4h00. Après un passage dans un night-shop, on décide qu’on a notre dose. On visitera ça une prochaine fois.
Une critique de Cursive
Une critique de Tapes ‘n Tapes
Une critique d’Eluvium
Une critique d’Explosions In The Sky
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Marc
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lundi, mai 07, 2007
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C’est pour le moins inattendu, même en mon chef. Tout simplement parce qu’à la suite de péripéties plus inintéressantes que véritablement difficiles, Stijn quittait un appartement qui devenait disponible pour une courte durée. J’ai effectué le déménagement (ce samedi) pour deux raisons. Si ma première chambre était dans une maison à la fois calme et propre, le fait de partager l’endroit avec des gens qui s’évitent plus ou moins n’est pas top. Je n’ai jamais eu à me plaindre d’aucun de mes colocs, ni Sean ni Kyle ni Jeff, mais je n’avais pas envie de les voir en rentrant. Et je les voyais une fois par semaine en moyenne. Quand on pense qu’on partageait la cuisine, c’est quand même maigre. Ce n’était pas exactement l’ambiance de mon kot de Liège. Même si je ne pourrais plus maintenant. La seconde raison, c’est que le nouvel appartement est plus grand et situé sur Capitol Hill, centre névralgique socioculturel de la ville. C’est là que sont les salles de concert, etc... C’est donc pour le meilleur que j’ai changé.
Et puis, j’ai pu faire connaissance avec les Garage Sales. Pas les parcs à autos d’une propreté douteuse comme vous l’imaginez, mais les marchés aux puces spontanés que les gens organisent le week-end pour se débarrasser des vieilleries. J’y ai trouvé deux fauteuils. Gratuits en l’occurrence puisqu’on est arrivés quand ils remballaient. Notez bien, comme la mise à prix était d’un dollar, j’aurais pu me permettre de casquer.
Comme il fait noir, pas encore de photos de l’endroit. Bientôt, bientôt...
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samedi, mai 05, 2007
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Comment ? Un post sans promenade champêtre ni groupe de rock ‘n roll ? Ben non, ce soir, on se consacre à la culture. Oui, madame... C’est que tous les premiers jeudis du mois a lieu l’art walk. En trois temps. Premier temps, artisanat moche du côté de Pioneer Square. Second temps, les galeries sont ouvertes. A l’exception d’un fort doué graveur japonais, rien de bien mémorable. Troisième temps The Building, une grande bâtisse qui abrite à peu près tous les jeunes artistes qui, une fois par mois donc, exposent à la maison. L’ambiance est détendue, fatalement, genre mélange de vernissage et de concert rock, soit un mélange assez cocasse de ce que je fais souvent et de ce que je ne fais plus. Il y a évidemment de tout, c'est-à-dire que l’art-et-essai-et-erreur est à l’ordre du jour. Mais il y a évidemment des gens doués, beaucoup parfois même. Voilà, c’est en sortant de ses habitudes qu’on découvre
Ceci n’est pas ce que j’ai vu de plus sensationnel, c’est qu’exceptionnellement la photo n’est pas ratée.
Cette œuvre conceptuelle doit son nom au fait que les briquets ont tous été ramenés par le courant.
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Marc
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samedi, mai 05, 2007
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Arrivant une bonne heure et demi après l’ouverture des portes, je pensais avoir skippé toute forme de première partie. Eh bien non, j’arrive tout juste pour le début de Yacht. Ca part mal. Une chorégraphie certes rigolote sur fond de musique laptop me rappelle trop le catastrophique Muscles la semaine passée. Sauf qu’ici ça évolue bien. En effet, sa danse destructurée s’accompagne d’un chant motivé sur des beats pas trop mal. Sans le visuel, je doute quand même que ce soit aussi convaincant mais en tous cas, le public est réceptif. Comme il le sera de sa séance de questions-réponses qui prend un peu tout le monde au dépourvu. Et puis il danse dans le public, s’essaie au crowd-surfing. Un fort bon animateur.
Mais les choses sérieuses se doivent de commencer. Et elles partent fort. Quand un set commence par Us Vs Them, c’est qu’il n’y a pas d’échauffement. Gare au claquage donc. Et la salle saute, pogotte même. Du jamais vu sur les rives de Puget Sound. C’est que la bande à James Murphy est un peu sur le toit du monde de ce qui se danse en cette année 2007. Accompagné de vrais musiciens, ces compositions tendues deviennent d’imparables productrices sudoripares. James Murphy est aussi éloigné que possible de toute image qu’on puisse se faire d’une star. Toutefois, si vous l’excluez de la short-list des personnes importantes de la musique du moment, vous n’êtes pas quelqu’un de sérieux. On dirait que la musique électronique telle qu’il la pratique sur son label DFA lui permet de réaliser son phantasme : devenir chanteur d’un groupe de rock. LCD Soundsystem n’a que deux albums à son compteur et je ne saurais que trop conseiller son dernier Sound Of Silver. Fort logiquement, c’est celui-ci qui sert de principal pourvoyeur de titre pour le concert. Et ils s’enchainent comme si de rien n’était. Pas moyen de donner un moment plus faible. Le concert se termine logiquement par une version de Yeah (oui, ce titre un peu stupide est devenu un quasi-classique) qui part de façon brouillonne mais évidemment fait encore monter l’ambiance d’un cran. En rappel, le tordu mais incroyable Someone Great puis une reprise de... Joy Division, c’est comme je vous le dis. Je dirais No Love Lost. C’est assez emblématique de la façon de faire du « groupe » new-yorkais : à l’instar des sombres mancuniens, la musique froide en album se transforme en matière vivante en live. Ils ont maintenant un slow à leur répertoire (New-York I love You) donc il permet de calmer les esprits avant de renvoyer tout le monde à la maison. Une superbe boule disco qui passait par là a bien été mise à contribution...
Un album à l’image du dernier album : impeccable de bout en bout et auquel toute tentative de résistance est vouée à l’échec.
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Marc
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jeudi, mai 03, 2007
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