dimanche, janvier 21, 2007
Il avait un joli nom mon guide (air connu)
Publié par
Marc
à
dimanche, janvier 21, 2007
0
commentaires
jeudi, janvier 18, 2007
Retour provisoire
Ainsi que vous le savez peut-être, je vais encore rester un peu ici, au moins deux mois. Mais je vais quand même revenir du 26 janvier au 6 févier. Largement le temps de boire une Gauloise donc. Puis je reviens encore en Belgique le 30 mars. L'histoire ne dit pas si c'est définitif ou pas...
Publié par
Marc
à
jeudi, janvier 18, 2007
3
commentaires
Demetri Martin
Dans la grande tradition des Stand-up comedians, j'en ai découvert un qui m'a vraiment fait rire. Il s'appelle Demetri Martin et officie sur la chaîne Comedy Central. Il s'agit d'un genre particulier, celui des vannes d'une seule phrase parfois. Il agrémente ça d'une guitare ou d'un piano, selon les circonstances. Une mention particulière pour ses explications de graphiques et ses petits dessins. Je vous mets quelques liens pour que vous voyiez mieux ce que je veux dire.
Publié par
Marc
à
jeudi, janvier 18, 2007
0
commentaires
mercredi, janvier 17, 2007
Enfin une soirée qui se termine sur un matelas inconnu
Publié par
Marc
à
mercredi, janvier 17, 2007
0
commentaires
samedi, janvier 13, 2007
On vit une époque formidable (air connu)
Publié par
Marc
à
samedi, janvier 13, 2007
0
commentaires
Le salon du monstre marin
Publié par
Marc
à
samedi, janvier 13, 2007
0
commentaires
Frigo
Publié par
Marc
à
samedi, janvier 13, 2007
3
commentaires
The Stranger / Seattle Weekly
Le Seattle Weekly est plus propre-sur-lui et propose un point de vue plus neutre et calme. Il se distingue aussi par des prises de position occasionnelles tellement à contre-courant qu’elles en sont parfois absurdes. En cinéma par exemple, Babel montre qu’Iñaritu doit arrêter de faire des films et Little Miss Sunshine est un mauvais film se moquant des pauvres. En musique, j’ai appris que My Morning Jacket (des icônes de la musique rock indé américaine) sont à peu près inconnus aux USA mais ont un succès énorme aux Pays-bas, en Belgique et au Luxembourg (ils arrivent même à placer Benelux, bel effort). Mouais.
Il n’en reste pas moins que je n’en rate pas un, ce sont vraiment des décodeurs indispensable de la vie ici.
Publié par
Marc
à
samedi, janvier 13, 2007
0
commentaires
dimanche, janvier 07, 2007
Seattle by night (de loin)
Samedi je ne suis pas sorti le soir, mais j’ai tenu à prendre quand même des photos. « C’est beau, une ville, la nuit » comme le disait Richard Borhinger dans son film du même nom qui vient de faire un bide retentissant. Vous cliquez sur l'image, elle s'agrandit. C'est formidable...
Publié par
Marc
à
dimanche, janvier 07, 2007
0
commentaires
Il y a café et café
Publié par
Marc
à
dimanche, janvier 07, 2007
0
commentaires
La Joie Veut L'éternité
Il est 21h. Le premier concert ne sera pas avant 22h, et la tête d’affiche est à minuit et demi. J’en profite pour aller voir le rayon des disques griffés au magasin pas loin, vous savez bien, celui dont je vous ai déjà parlé. Pour des prix imbattables (mon record : un double à $2.5), ils proposent des cd’s échangeables. Ce qui fait que je rate la majeure partie du premier des quatre groupes. Mauvaise idée, ce que j’en entends a l’air vraiment bon. Imaginez une version Noisy d’Interpol. Pas grave, Caves devient un nom à suivre dans l’impressionnante série de shows proposés quotidiennement ici. C’est un peu ce qui manque à Bruxelles, de petites salles proposant de petits concerts pas chers et de très bonne qualité.
Le second groupe s’appelle Red Martians (photo ci-dessus). Une fille (à la basse d’office, c’est comme ça le rock) et deux garçons pratiquent un rock qui doit beaucoup à My Bloody Valentine. C’est le ton des groupes du soir et je suis venu exprès pour ça. Je n’avais plus vu personne jouer du vibreur sur tous ses accords depuis longtemps. Chouette musique en attente des choses sérieuses. Qui commencent avec Blue Light Curtain (photo ci-dessous). Deux filles, un garçon et une boîte à rythme (incluse dans le line-up) font une musique qui joue sur la complémentarité. De deux voix tout d’abord, d’une batterie apportant de la puissance en plus de l’entêtante beatbox ensuite, de la guitare et d’un clavier aux lourdes nappes enfin. Le résultat est intéressant, prenant même parfois, faisant honneur au cliché qui veut que le plus simple puisse être le plus efficace.
Mais le morceau de résistance est Joy Wants Eternity. J’avais déjà voulu voir ce groupe, au Paradox, mais un retour trop tardif dans une salle qui ne vendait que du café et des Snickers ne nous avait pas permis de les voir vraiment. Mais ici, je vais prendre ma revanche. Quand le groupe installe son matériel, on sait qu’on n’est pas là pour rigoler : un clavier et trois guitares, c’est là pour produire du son. Et quel son mes amis. Le lieu, pas énorme, s’y prête sans doute fort bien, mais l’expérience est vraiment unique. C’est de la matière-son, un bruissement qui devient presque solide, qui entoure, qui est partout. Je me déplace même pour constater que le son est encore là. Je n’ai pas spécialement retenu de titres, mais le souvenir de ces sensations est très vivace encore. Mon premier moment mémorable de 2007. Pour une somme dérisoire, dans un endroit pas spécialement fait pour ça, avec une assistance pas vraiment fournie mais qui profite du moment, on peut vraiment passer une soirée qui compte. Il est une heure et demie, je rentre pour treize heures de sommeil pas volées...
Publié par
Marc
à
dimanche, janvier 07, 2007
0
commentaires